Jérôme Rime

• Améliorer les fonctions cognitives déficitaires (p. ex. : trouble de l’attention, difficulté d’organisation et de planification, etc.)
• Favoriser la métacognition (capacité à identifier et à utiliser les stratégies de pensées pour contourner les difficultés)
• Comprendre sa manière de réfléchir et de fonctionner

Concrètement, il s’agit d’exercices mentaux dont le but pour l’enfant ou l’adolescent est d’identifier ses stratégies cognitives, de les améliorer ou d’en trouver de nouvelles plus efficaces, pour améliorer son fonctionnement quotidien et son estime de soi.

L’objectif avoué de la remédiation cognitive est de permettre à l’enfant et l’adolescent d’apprendre des stratégies compensatrices visant à améliorer son fonctionnement adaptatif (et celui de sa famille), mais aussi à promouvoir une meilleure qualité de vie et son autonomisation.

Cette méthode thérapeutique s’avère intéressante et pertinente pour des enfants et adolescents souffrant de TDAH, de troubles des apprentissages (les fameux « dys »), voire rencontrant des difficultés sur le plan de la gestion émotionnelle. Travailler sur les composantes cognitives telles que l’inhibition, l’attention, la planification, la mémoire, etc. constitue une plus-value dans le fonctionnement scolaire et au quotidien.

Finalement, la prise en charge que je propose peut tout à fait être complémentaire à d’autres aides déjà mises sur pied, que ce soit en psychothérapie, en orthophonie, en ergothérapie, en psychomotricité ou autre. Le travail en réseau s’intègre parfaitement dans cette approche.

Vous trouverez des articles scientifiques autour de la remédiation cognitive ICI